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Des photographes au Château

Le 15 avril est la Journée Mondiale de l’art ! Cette journée basée sur le thème de l’expression est l’occasion idéale pour parler d’une forme d’art que nous apprécions particulièrement au Château de Saint-Priest : la photographie. Deux photographes, deux styles, deux univers, voici Lars Petter Jordheim et Alexandre Moulard.

Le Château de Saint-Priest mis en lumière par des photographes

Alexandre Moulard


À leurs façons, ils ont su mettre en valeur à la fois les intérieurs comme les extérieurs de nos espaces, à l’image de la magnifique verrière du restaurant du Château.

L’un expose quelques unes de ces superbes photographies dans notre salon Nogaret, au 2ème étage du Château.

L’autre nous a fait l’honneur de shooter les quatre coins du Château pour nous permettre d’avoir de magnifiques photographies à vous présenter.

La photographie, de génération en génération

Lars Petter Jordheim : « J’ai débuté dans la photographie il y a environ 30 ans, le jour où j’ai hérité d’un appareil (Vivitar) de mon grand-père. »

Alexandre Moulard : « Je fais de la photographie depuis mes 10 ans. J’ai commencé sur les plateaux de cinéma où travaillait mon père. »

« Que préférez-vous prendre en photo ? »

Lars Petter Jordheim


Lars Petter Jordheim : « J’aime photographier en ville, en particulier des sujets graphiques ou insolites. J’aime l’idée de prendre en photo des lieux du quotidien avec un point de vue un peu original et différent. »

Alexandre Moulard : « Ce sont les gens qui m’intéressent le plus, j’aime les rencontrer au travers de mon objectif. Pourtant plus récemment je me suis remis à faire des photos de paysages et d’architecture et j’y ai trouvé un nouvel intérêt. »

Une passion ou une profession dévorante

Lars Petter Jordheim : « Je ne me suis jamais vraiment lancé dans la photo, j’aime juste ça. C’est uniquement un loisir que je pratique en promenade, en voyage. Le seul lien avec mon travail (je suis enseignant chercheur) est que je profite de mes voyages professionnels pour faire de la photo dans les villes visitées.

Je ne sais pas si je peux définir ce que je fais comme de l’art, mais si d’autres personnes apprécient mes images, c’est peut-être ça finalement.

Lars Petter Jordheim


Ma série de photos de Saint-Priest correspond à la 1ère fois où j’ai fais des photos qui avaient pour but d’être visionnées par d’autres personnes que mes amis ou ma famille. En effet, c’était pour un proche qui ouvrait son cabinet sur Saint-Priest. Je lui ai proposé d’habiller ses murs avec des photographies de Saint-Priest. Il m’a laissé carte blanche, alors j’ai passé plus d’un an a arpenter les rues et ruelles de la ville pour faire cette série.

Je pense que c’est une série accessible, en particulier aux San-Priots. On y voit des lieux connus de tous, que j’ai voulu mettre en valeur d’une nouvelle façon et jusque là inhabituelle.  »

Alexandre Moulard : « En 1998 j’ai ouvert ma première agence de photo et je me suis spécialisé dans le reportage de mariage. Il y a 20 ans, l’offre sur ce secteur était beaucoup plus restreinte. Les principaux acteurs du marché étaient des photographes qui avaient des boutiques et qui travaillaient de façon beaucoup plus classique qu’aujourd’hui.

Alexandre Moulard


Ensuite, j’ai rapidement diversifié mes activités en travaillant en studio pour des marques de vêtements (comme par exemple Oakley, Nike ou Quiksilver). J’ai également travaillé pour des maisons de disques pour couvrir des lives et faire des pochettes de disques.

C’est un travail qui nécessite du temps et aussi de recourir à de nouvelles techniques passionnantes. J’utilise le drone, la prise de vue à 360° et la 3D. Cela me permet aussi de voyager d’avantage et découvrir des paysages magnifiques. C’est l’équilibre parfait pour moi. »

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